ou comment on se re-mémore ses folles nuits en boîte de nuit de quand on était juste un petit cheveu plus jeune.
Quand sous le Palace le Privilège ouvrait tôt le matin pour l'after,
Quand le Studio A était gay et joyeux,
Quand on allait en cours le lendemain matin, à peine fripée sous les yeux (ce qui n'arrive plus maintenant, ...uniquement parce que je ne vais plus en cours !)
Quand on fonçait sur la piste de dance en hurlant : ohhhhh non j'adore cette chanson !!!!!
(vous le faisiez aussi ?)
Allez c'est bientôt Noyel, on fait pêter le bouchon de champagne, on pousse les meubles et on fait moover son booty sous sa petite jupette à paillettes.
Il suffit parfois d'une bonne petite série d'onomatopées pour que nos popotins balancent sur un son syncopé.
(c) - extract poster Brio
Bien trouvés le "bim", les "bam", les "da ba", les "boum", les "badaboum" nous poussent à nous dandiner tout un été dans des boites de nuit surchauffées.
(« alors forcément on a chaud, on boit » senior météo, c’est déjà Noël, on fait référence à Monsieur Katia pour qui aura vu la pièce du Père par le Splendid).
L'Allemagne nous à fait en 1982 une belle percée dans nos hits parades (chers petits clous), avec TRIO et son "Da da da" (version écourtée du titre originel : "Da da da, ich lieb dich nicht, du mich nicht liebst, aha aha aha")
Personnellement je surlike cette version karaoké principalement pour le second rôle : "le type que rien ne perturbe quand il est sur son PC", respectons son anonymat il ne sera visible dans cette vidéo que de dos, mais sa performance est remarquable.
George Kranz "Din Daa Daa"
Ne t’a-t-il pas fait te convulser comme une anguille chez Maïtée par la subtilité de ses lyrics en cet été 1984 ?
Enfin la gente féminine ne sera pas en reste car en 1991, Crystal Waters réussira à nous conduire droit sur le dancefloor avec une chanson dont le titre était d’une incommensurable festivité : Gypsy Woman (She’s homeless) très vite rebaptisé : "Gypsy Woman (La da dee la da da)" (tellement plus funky !).
Embrasse moi idiot, une bonne pub, c'est parfois beaucoup, beaucoup beaucoup mieux que des mots !
Sauf quand il s'agit des jeux de MOndinO :
Les pauses pubs du petit écran que j'aime, elles sont "guedins" (ou guedines ? ça se dit ? demande l'auteur-e).
Elles ont laissé les "créas" librent d'aller vers le n'importe quoi, elles sont un espace de fun, de jeux de mots (subtiles si possibles, drôles c'est encore mieux).
Ces pubs là, sont celles qui au final ne s'oublient pas.
("Mêmes mouillés ils sont secs" si c'est pas du slogan qui envoi !).
Du bon du Beau, Dubonnet !
Moins corporate, moins léchées, moins lissées, parfois trash et un brin débiles, futiles, donc au final elles s'ancrent dans nos pensées de consommateurs avides de nouveautés et sont plus utiles à ces chers mercantiles.
A quand le retour de la publicité créative ?
A quand le retour de cette aire d'expérimentation comme Lajaunie qui fait "han-han" où Gratounette de Spontex qui se laisse enfermer par Mondino ?
Heureusement certains ont encore un double effet :
Soyez cool et embrassez vous :
Et là j'ai une petite pensée pour les années 80 et les pubs Eram, Orangina,... bref les pubs qui ont vu Mondino, Goude, ou encore Gauthier éclorent.
NB : si c'est en vente libre, je veux bien savoir ce qu'avait absorbé les créas qui ont signés les pubs KissCool.
A l'heure où je suis en plein régime : " no glu no lact" traduire par : no gluten, no lactose, (ou bien encore "tu le vois ce sandwich pain, beurre et camembert, et bah tu l'auras pas ! ") je n'en demeure pas moins gourmande.
Et curieuse, et gourmande, et curieuse, et... j'aime le chocolat !!!!!!
En surfant sur les blogs (et oui, d'autres se contentent de surfer sur le net, moi je surfe sur les blogs, c'est plus douillet !!!!), j'ai vu de jolies choses bien appétissantes...
(mon clavier s'en souvient encore,... Il était une fois La référence musicale qui pète grave les tympans)
Mais on s'égare là, recentrons la dégustation :
Comme dirait l'autre "ça mange pas de pain de faire tourner"... et surtout c'est virtuel, donc exit les miettes, et les tâches de gras sur le clavier.
Voici quelques uns des travaux personnels de Florian Garnier, styliste culinaire de profession.
Si ce métier vous fait saliver et il y a le blog Culinographie.
La profession expliquée, des interviews, des photos qui font baver. (cliquer sur l'image pour y voyager)
Et comme indiqué on respecte le (c) de Béatrice Peltre qui possède un site à découvrir en cliquant : Là
Dernier truc et astuce, pour que le gigot en photo soit beau, que le fond de teint gicle bien*, certains sont carrément faux !
Ils ne fondent pas sur le bureau, ils ne dégoulinent pas sur le top modèle, et surtout ils sont PERFECTION !
Faux Mars, faux Cornetto, mais faut ce qu'il faut... ces faiseurs sont bien habiles et ... on en mangerait.
Sophie Clercy propose une équipe qui conçoit et réalise.
Des Mars élastiques.
Des glaces qui ne fondent pas.
Et des monstres qui vont tout dévorer !!!
Comme quoi, quand du talent il y a, les métiers ont l'air très sympa ! (proverbe du jour)
* et oui, le faux est aussi de mise dans la make up city !
Le Monsieur à ses émules de talent, ainsi Cerkahegyzo, qui s'attache plus au corps du crayon, sculptant des chaines à l'aide d'outillage basique.
Des aiguilles, des lames, de la laine de verre... c'est dingue ce qu'il parvient à faire.